La construction du Projet d’expansion de Trans Mountain dans la région de l’intérieur de la C.-B. comprend la construction du segment 5A de l’oléoduc et des travaux à trois installations.

Voici les collectivités comprises dans la région de l’intérieur de la C.-B. :

  • Black Pines
  • Kamloops
  • Merritt

Construction du segment 5A de l’oléoduc

La construction de l’oléoduc commence à Black Pines (à environ 40 km au nord de Kamloops) et se poursuit jusqu’au sommet Coquihalla. Les travaux comprennent principalement des techniques de construction classique d’oléoduc, avec l’utilisation de techniques sans tranchée pour les franchissements de la rivière Thompson, de la rivière Nicola et de Coldwater Creek.

Surerus Murphy Joint Venture (SMJV) (en anglais) est l’entrepreneur responsable de ces travaux qui comprennent :

  • La construction d’un oléoduc sur environ 185 km
  • L’installation 18 ensembles de vannes
  • Trois franchissements sans tranchée utilisant la technique du forage directionnel horizontal

SMJV a vu le jour en 2015 lorsque Surerus Pipeline Inc. et J. Murphy & Sons ont conclu un accord officiel pour poursuivre et réaliser de grands projets d’oléoducs au Canada. Les deux sociétés ont l’habitude de mener à bien de grands projets d’oléoducs dans des conditions difficiles, et le solide héritage d’entreprise familiale a été un élément clé de la croissance de la coentreprise.

Construction d’installations

Cord (en anglais) sera responsable d’entreprendre des travaux au terminal de Kamloops et à deux stations de pompage dans cette région. Les stations de pompage comprennent des moteurs électriques qui maintiennent la pression et le débit dans l’oléoduc. Au nombre des travaux, on trouve les suivants :

  • Construction de la station de pompage à Black Pines
  • Terminal de Kamloops
  • Mises à niveau de la station de pompage à Kingsvale

Cord possède une vaste expérience dans la construction de terminaux et de stations de pompage dans l’Ouest canadien, y compris plus de 50 stations de pompage similaires et des travaux à des terminaux qui comptent plus de 30 millions de barils d’entreposage.