La sécurité des membres de la communauté, des employés et la protection de l’environnement sont nos plus grandes priorités. Nous travaillons fort pour minimiser les impacts sur les voisins de la communauté résidentielle environnante pendant l’exploitation.

Plusieurs organismes de réglementation fédéraux, provinciaux et régionaux participent à la gestion de la qualité de l’air en ce qui concerne le terminal Trans Mountain à Burnaby et le terminal maritime de Westridge.

Avec la mise en place de mesures améliorées, nous ne prévoyons pas de nuisances olfactives attribuables à l’intensification des activités. Malgré l’exploitation plus intense dans les deux terminaux en raison de l’expansion, notre système de gestion des émissions est conforme aux objectifs de qualité de l’air de la région métropolitaine de Vancouver.

Terminal maritime de Westridge

Au terminal maritime de Westridge, les vapeurs sont produites au fur et à mesure que le pétrole est chargé dans des navires-citernes à double coque. Les vapeurs sont expulsées des citernes à mesure que le pétrole monte dans la cale. Actuellement, les vapeurs sont capturées et détruites dans une unité de combustion à vapeur (UCV) située à proximité. Avec l’expansion, la technologie améliorée de récupération de la vapeur capturera presque toute la vapeur et la ramènera dans les navires-citernes pendant le chargement.

Deux nouvelles unités de récupération de la vapeur (URV) recueilleront presque tous les composés odorants et les émissions de composés organiques volatils (COV) provenant des vapeurs. Lors du chargement d’un ou deux navires, l’URV comprimera, liquéfiera et refroidira les vapeurs, puis les réinjectera dans le navire étant chargé. Lors du chargement de trois navires à la fois (ce qui se produira moins de cinq pour cent du temps) ou comme relève des URV pendant les activités d’entretien, une nouvelle UCV sera en place pour une utilisation occasionnelle. La nouvelle unité de combustion à vapeur sera semblable à l’UCV existante à Westridge, toutefois son utilisation représentera moins d’un quart de l’utilisation de l’UCV actuelle. Cela signifie que même si un plus grand nombre de navires sont chargés au terminal, il n’y aura pas plus d’émissions dans l’air.

Nous travaillons en collaboration avec un fournisseur d’équipement pour contrôler également les émissions de composés organiques volatils (COV) non réglementés à des niveaux similaires à ceux qui s’appliquent en Californie. C’est un élément important car les COV peuvent contribuer à l’ozone troposphérique (le smog).

L’UCV existante restera en exploitation pendant la construction et sera mise hors service après la mise en service du nouveau complexe portuaire.

Apprenez-en plus au sujet de notre programme novateur de gestion des émissions de l’agrandissement du terminal maritime de Westridge et de notre engagement envers l’amélioration continue grâce à notre participation à l’Alliance verte (en anglais).

Terminal de Burnaby 

Les 13 réservoirs de stockage de pétrole existants au terminal de Burnaby ont tous des toits flottants et trois des réservoirs sont munis de systèmes d’épuration pour réduire les odeurs. Le système de lavage existant est élaboré selon les résultats d’une étude complète des odeurs. Pour contrôler les odeurs, nous plaçons des produits plus odorants dans ces réservoirs. Les nouveaux réservoirs du terminal de Burnaby comprendront tous des unités d’absorption de la vapeur dans les réservoirs (UAVR) pour contrôler les odeurs. Pour de plus amples renseignements sur les études de la qualité de l’air de l’agrandissement du terminal de Burnaby, veuillez consulter les documents suivants ici (en anglais).