L’approbation qu’a annoncée aujourd’hui le gouvernement du Canada au sujet du Projet d’expansion Trans Mountain (PETM) confirme que le projet est dans l'intérêt supérieur des Canadiennes et des Canadiens et donne le coup d’envoi aux étapes réglementaires et commerciales qui peuvent maintenant être effectuées pour lancer les travaux.

« L’annonce d’aujourd’hui confirme la valeur de ce projet pour l’avenir économique du Canada. C’est aussi un vote de confiance en la capacité de réussite d’un projet de cette envergure. Il s’agit d’une étape importante, non seulement pour nous, mais surtout pour les transporteurs, les collectivités, les travailleurs, les entreprises locales et les peuples autochtones qui ont participé à l’élaboration du projet et qui attendent de participer à sa réussite », a déclaré Ian Anderson, président-directeur général de Trans Mountain Corporation. « Aujourd’hui représente le point culminant d’un long examen approfondi qui a tenu compte de milliers d’heures d’études environnementales et techniques, de preuves scientifiques et d’engagement significatif qui ont fait partie de l’évaluation globale. »

Au cours des dix mois qui ont suivi la décision de la Cour d’appel fédérale qui a interrompu l’avancement du projet en août 2018, le PETM et ses partenaires ont continué à faire progresser les travaux de conception et de planification nécessaires. Ces travaux contribueront à faire avancer le projet afin d’appuyer le développement des ressources énergétiques du Canada, en créant des milliers d’emplois et d’importantes perspectives financières pour les collectivités, à un moment où notre économie en a besoin.

Au nombre des prochaines étapes qui suivront l’approbation d’aujourd’hui, notons l’octroi du certificat de commodité et de nécessité publiques (CCNP) au projet par l’Office national de l’énergie (l’ONÉ). L’entreprise s’attend également à ce qu’un processus de l’ONÉ rétablisse le dossier de l’instance réglementaire précédente et Trans Mountain demandera à ce que le projet soit remis dans le même état de préparation qu’il l’était avant la décision de la Cour d’appel fédérale. 

Trans Mountain a toujours été convaincue que le projet respectait et respectera toutes les normes, tous les règlements et tous les tests de protection et de gérance environnementales.

« Notre projet sera l’oléoduc le mieux construit, le plus sûr et le plus techniquement avancé possible. Les vastes consultations menées par l’État auprès des Autochtones et les recommandations issues de l’examen du milieu marin ont fait du PEMT un projet encore plus solide et mieux adapté.

Le PEMT a beaucoup évolué depuis sa proposition initiale, et ce, en grande partie en raison des consultations et des commentaires du public, des peuples autochtones, des administrations locales et des experts techniques », a expliqué M. Anderson.

« Nous avons travaillé d’arrache-pied pour tisser et solidifier nos relations avec les peuples autochtones le long de notre oléoduc et de nos corridors maritimes. Ensemble, nous avons exploré et, dans bien des cas, nous avons conclu des ententes qui offrent de nouvelles possibilités et de la prospérité, en plus de veiller à ce que la conception et la planification du projet comprennent des mesures pertinentes pour protéger les intérêts autochtones sur les terres et les eaux. »

Le projet fait l’objet de 156 conditions qui sont appliquées par l’ONÉ et démontrent la rigueur et les détails qui s’intégreront à chaque étape de l’expansion pour atténuer les risques, respecter les droits des personnes directement touchées et assurer la sécurité.

De plus, Trans Mountain a pris des centaines d’engagements pour aborder les préoccupations présentées par le public, les gouvernements locaux et provinciaux ainsi que les communautés autochtones dans un large éventail de domaines. Trans Mountain est tenue par l’ONÉ de mettre en œuvre chacun de ces engagements.

« Nous sommes prêts à relancer le projet. Nous remercions les nombreuses Canadiennes et les nombreux Canadiens qui n’ont pas hésité à nous appuyer et nous sommes heureux de respecter nos engagements et de veiller à ce que le plus grand nombre possible de personnes puissent tirer profit de cet important projet canadien », a affirmé M. Anderson.